Aston Martin DB11 : Découvrez les caractéristiques et performances d’une véritable icône de la route

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Silhouette sculptée, capot interminable et soundscape feutré à vitesse de croisière: l’Aston Martin DB11 incarne l’idée contemporaine du grand tourisme. Née pour remplacer la DB9 en 2016, elle s’est déclinée en V8 biturbo et V12 5.2, en coupé comme en Volante. En 2025, elle demeure une référence sur le marché des GT de caractère, qu’on la compare à une Ferrari Roma, une Bentley Continental GT ou une Porsche 911 Turbo.
Au-delà du prestige, la DB11 séduit par une aérodynamique subtile, un habitacle somptueux et une polyvalence rare: escalader un col au lever du jour, avaler 800 km d’autoroute dans la foulée, puis s’exhiber en centre-ville sans stress. Ce dossier détaille son design, ses moteurs, son châssis, ses technologies et ses coûts d’usage, avec des repères concrets pour choisir la bonne version.
- Points clés — Style intemporel et dimensions GT, V8 510 ch ou V12 639 ch, 0-100 en 4,0 à 3,7 s, coffre 270 dm3, confort haut niveau.
- Design et dimensions — Ce que mesurent les lignes et ce que ressentent les passagers.
- Moteurs et performances — V8 biturbo AMG vs V12 maison, chiffres et usages.
- Comportement routier — Les réglages qui transforment une GT en danseuse.
- Technologies & personnalisation — Équipements de série et options qui comptent.
- Coûts & alternatives — Carburant, entretien, assurance, et concurrents en 2025.
Envie d’un détour par l’ADN cinématographique de la marque? Découvrez pourquoi Aston Martin reste l’emblème des voitures de James Bond.
Aston Martin DB11 : design, dimensions et aérodynamique optimisée pour les longs trajets
À l’arrêt, la DB11 impose un calme magnétique. Les proportions parlent d’elles-mêmes: capot plongeant, ailes galbées, feux arrière en boomerang et ligne de toit qui fuit jusqu’à une poupe ramassée. Ce n’est pas une sportive agressive au sens d’une Lamborghini; c’est une GT qui privilégie la tension des lignes à la démonstration de force. Le langage est britannique, donc mesuré mais expressif, à l’image d’une Jaguar F-Type plus discrète.
Sur la route, l’élégance se prolonge dans la gestion des flux d’air. L’aérodynamique de la DB11 canalise l’air le long des flancs et au-dessus du toit pour générer de la stabilité sans recourir à un aileron démesuré. Résultat: excellente protection contre le vent et silence appréciable à haute vitesse, deux qualités citées par les conducteurs habitués aux longs voyages. Ce raffinement s’avère plus rare chez des sportives à moteur central comme certaines McLaren, plus focalisées piste.
À bord, le décor mixe cuir pleine fleur, inserts métalliques et couture sellier. La planche de bord enveloppe, l’écran central 8 pouces reste accessible, et l’instrumentation numérique est personnalisable. Les sièges avant chauffants à réglages électriques (mémoire intégrée) assurent une assise efficace dès les premiers kilomètres. Quant aux places arrière, ce sont des assises d’appoint: la DB11 est un vrai 2+2. Avec 270 dm3 de coffre, un week-end à deux avec bagages rigides passe sans contorsions.
Côté gabarit, on reste dans les canons d’une GT contemporaine: 4,75 m de long, 1,95 m de large, 1,29 m de haut pour le coupé (1,30 m pour la Volante), et 2,80 m d’empattement. En ville, la largeur impose une attention soutenue, mais les caméras et capteurs périphériques simplifient manœuvres et parkings étroits. Sur autoroute, l’assise basse et la caisse large confèrent une stabilité rappelant une Bentley Continental GT, mais avec une note plus sportive dans la direction.
Marc, 47 ans, chef d’entreprise, hésitait entre une Ferrari Roma et une DB11 V8 Volante. Son usage? 25 000 km/an, dont 70 % d’autoroute entre Lyon et Zurich. Après deux essais, il a retenu la DB11 pour trois raisons: le silence à 130 km/h toit replié grâce au pare-vent, le confort de suspension en mode GT et la possibilité d’alterner promenade et accélérations franches sans stresser le passager. La Roma l’a séduit en dynamisme, mais l’Aston a gagné en agrément longue distance.
Vie à bord et ergonomie au quotidien
L’interface de la DB11, issue d’un partenariat technologique germanique, privilégie la simplicité: commandes physiques pour la climatisation automatique, pad de contrôle pour l’info-divertissement, connectivité Bluetooth et navigation claire. Ce n’est pas l’écran panoramique d’une Rolls-Royce moderne, mais l’ensemble reste cohérent et durable, surtout sur un usage quotidien.
- Points forts — Finition somptueuse, isolation phonique soignée, maintien des sièges, rangements bien placés.
- À surveiller — Suspensions parfois trop souples si l’on enchaîne les appuis forts, et quelques plastiques en-dessous du standing sur des zones secondaires.
- Astuce — Choisir des coloris intérieurs contrastés met en valeur les volumes et valorise la revente.
Le mot de la fin pour cette partie? La DB11 n’intimide pas; elle met en confiance. Elle habille chaque trajet d’un voile de sérénité que peu de GT rivalisent, même venues de chez Maserati ou Porsche.
Passons maintenant au cœur battant de la DB11: ses moteurs V8 et V12, deux signatures bien distinctes à découvrir selon votre profil d’usage.
Moteurs et performances de l’Aston Martin DB11 : V8 biturbo vs V12 5.2, chiffres et sensations
Sous le long capot en aluminium, deux écoles. Le V8 4.0 biturbo d’origine AMG, 510 ch et 675 Nm, offre un couple immédiat et une montée en régime nerveuse. En face, le V12 5.2 maison affiche 639 ch et 700 Nm, pour un souffle plus crémeux et une allonge supérieure. Les deux sont associés à une boîte automatique à 8 rapports qui sait coulisser en douceur ou claquer un rapport en mode Sport+.
En pratique, le V8 signe un 0 à 100 km/h en 4,0 s (Volante 4,1 s) et pointe à 309 km/h. Le V12 descend à 3,7 s et file jusqu’à 334 km/h. Au-delà des chronos, la cartographie dessine deux personnalités. Le V8, plus léger sur l’avant, rend la DB11 encore plus vive en enchaînement. Le V12 magnifie la notion de GT: réserve de puissance inépuisable, sonorité plus ample, reprises souveraines.
Version | Moteur | Puissance | Couple | 0-100 km/h | Vitesse max. | Transmission | Dimensions clés | Coffre |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
DB11 V8 (Coupé) | V8 4.0 biturbo | 510 ch à 6 000 tr/min | 675 Nm à 2 000 tr/min | 4,0 s | 309 km/h | Auto. 8 rapports | 4,75 m / 1,95 m / 1,29 m – Empattement 2,80 m | 270 dm3 |
DB11 V8 (Volante) | V8 4.0 biturbo | 510 ch | 675 Nm | 4,1 s | 309 km/h | Auto. 8 rapports | 4,75 m / 1,95 m / 1,30 m – Empattement 2,80 m | 270 dm3 |
DB11 V12 (Coupé) | V12 5.2 biturbo | 639 ch à 6 500 tr/min | 700 Nm à 1 500 tr/min | 3,7 s | 334 km/h | Auto. 8 rapports | 4,75 m / 1,95 m / 1,29 m – Empattement 2,80 m | 270 dm3 |
Consommations réelles et usage
En conditions réelles, le V8 tourne entre 11-13 l/100 sur autoroute stabilisée, 15-17 l/100 en mixte dynamique. Le V12 se cale plutôt à 13-15 l/100 sur autoroute et 16-18 l/100 en conduite soutenue. Ces valeurs dépendent du profil d’itinéraire et des modes choisis (GT, Sport, Sport+). La bonne nouvelle: la boîte 8 rapports abaisse le régime au long cours, ce qui contient la dépense.
Face à la concurrence, le V8 DB11 tient la comparaison avec une Porsche 911 Turbo en agrément, tout en offrant une présentation plus classique. Le V12, lui, flirte avec la philosophie d’une Bentley Continental GT Speed, avec davantage de rage dans les tours. Une Ferrari Roma demeure plus incisive, mais le confort Aston reste supérieur sur les longues distances.
- V8 si vous cherchez l’équilibre poids/performances et l’agilité sur routes secondaires.
- V12 si vous privilégiez l’opulence mécanique, les grandes traversées et la valeur statutaire.
- Volante si l’expérience cheveux au vent prime, sans renoncer à la rigueur du coupé.
Pour entendre la différence de timbre entre V8 et V12, rien ne vaut une immersion en image.
Ces chiffres donnent un cadre; voyons maintenant comment la DB11 les traduit sur le bitume, selon les routes et les modes de conduite choisis.
La dynamique prend tout son sens quand on plonge au cœur du châssis et de ses réglages: c’est l’objet de la partie suivante.
Châssis, suspensions et direction : le comportement routier de l’Aston Martin DB11 décrypté
La DB11 a été conçue comme une GT avant d’être une pistarde. En mode GT, les amortisseurs pilotés filtrent, la direction se montre souple, et la caisse respire. Les passagers profitent de l’isolation et du moelleux, tout en gardant la précision nécessaire pour un rythme soutenu. Sur ce terrain, elle distance des sportives plus radicales comme une McLaren, souvent plus fermes en amortissement de base.
En revanche, quand on hausse franchement le ton sur petites routes, certains retours d’essai pointent un train arrière vite débordé si l’asphalte est bosselé et si l’on brutalise l’accélérateur en sortie de virage serré. Rien d’alarmant: le grip progresse fortement avec des pneus de dernière génération et une géométrie d’alignement soignée. L’assistance de direction jugée trop importante par certains en mode GT se rigidifie en modes Sport et Sport+, mais demeure moins communicative que celle d’une Porsche 911.
Modes de conduite et réglages utiles
Trois profils s’offrent au conducteur. En GT, l’Aston lisse les aspérités et ménage les épaules; parfait pour l’autoroute et la ville. En Sport, la cartographie d’accélérateur devient plus réactive et les amortisseurs se tendent. En Sport+, on libère les réponses: la DB11 se crispe, roule moins, et l’échappement s’anime. Sur départementales fluides, le V8 en Sport est un régal; sur grandes courbes, le V12 fait parler ses reprises, même en GT.
- Pneus — Favoriser une gomme UUHP récente (type PS4S/PS Cup 2 Connect selon usage) pour stabiliser le train arrière.
- Pressions — Respecter les pressions constructeur à chaud; un sur-gonflage mine le grip et la motricité.
- Freinage — Privilégier des plaquettes à coefficient stable si usage alpin régulier; la constance prime sur le mordant à froid.
- Amortisseurs — En duo et bagages, Sport est souvent l’idéal; en solo à rythme fort, Sport+ peut s’envisager sur revêtement de qualité.
Comparativement, une Porsche 911 Turbo reste plus incisive dans le nez, une Ferrari Roma plus joueuse, une Bentley plus ouatée, tandis qu’une Jaguar F-Type R AWD favorise la motricité, même sous la pluie. Une Lamborghini Huracán, plus radicale, n’offre pas la même polyvalence GT. L’équilibre de la DB11 tient à cette capacité à rouler très vite sans vous inciter à attaquer sans cesse, ce qui préserve le conducteur et ses points de permis.
Pour apprécier la DB11 dans son élément, privilégiez des routes à courbes moyennes, à revêtement homogène, où la caisse peut respirer. En montagne, anticipez les compressions et dosez le couple, surtout sur V12. Sur circuit rapide, la DB11 encaisse des sessions courtes mais elle n’est pas conçue pour chasser le chrono comme une GT3 RS. C’est une GT à la noblesse assumée, notion à rappeler à l’heure où beaucoup de modèles s’homogénéisent.
Le châssis posé, intéressons-nous à l’univers technologique et aux options qui façonnent l’expérience à bord.
Les équipements et la personnalisation jouent un rôle majeur dans la valeur perçue et la revente. Voici ce qu’il faut retenir.
Équipements, technologies et personnalisation : l’Aston Martin DB11 en détail
Dès la dotation standard, la DB11 ne fait pas l’impasse sur l’essentiel. Les jantes 20 pouces, les rétroviseurs rabattables électriquement, les sièges avant chauffants à mémoire, l’intérieur cuir et le volant sport avec palettes composent un package complet. La climatisation automatique, l’écran 8 pouces, le combiné numérique personnalisable et le système audio 400 W répondent aux attentes modernes sans tomber dans la surenchère d’écrans.
Pour la sécurité et la facilité de conduite, on retrouve l’aide au stationnement AV/AR, la caméra 360°, le régulateur/limiteur et l’avertisseur d’angle mort. Ces assistances suffisent pour dédramatiser la conduite d’une GT large en centre-ville ou parking. Sur autoroute, le régulateur se combine idéalement avec l’insonorisation pour abattre les kilomètres dans un cocon.
Options utiles et personnalisation
La magie opère souvent dans le détail. Entre teintes spéciales, cuirs bicolores, surpiqûres contrastées et inserts (aluminium, carbone, bois), chaque DB11 peut refléter un style personnel. Les configurations sobres (gris, bleu, vert anglais) valorisent le dessin; les teintes vives flattent les volumes, notamment en Volante. Sur le plan fonctionnel, une caméra améliorée, des sièges ventilés et un pack audio premium peuvent transformer l’usage quotidien.
- À cocher — Caméra haute définition, sièges ventilés, pack éclairage d’ambiance, pare-vent Volante.
- À considérer — Freins majorés si usage soutenu en montagne, pack carbone pour la revente, sellerie exclusive si conservation long terme.
- À éviter — Options très spécifiques de goût (combinaisons extrêmes) si l’objectif est une revente facile.
Le système multimédia, dérivé d’une base éprouvée, favorise la fiabilité. Ce n’est pas un mur d’écrans comme dans certaines Rolls-Royce récentes, mais l’ergonomie y gagne. La qualité perçue demeure un atout, avec des alignements précis et des matières agréables au toucher. On note toutefois que quelques plastiques secondaires peuvent paraître en retrait par rapport aux standards ultra-premium.
Culturellement, la DB11 reste un objet de distinction. Elle converse avec les amateurs de Maserati GranTurismo par son supplément d’âme et se démarque de l’ostentation d’une Bugatti par sa discrétion assumée. Elle ne cherche pas à remplacer une pisteuse; elle s’adresse à ceux qui confondent voyage et destination. Pour approfondir l’imaginaire, n’hésitez pas à relire l’histoire de la marque et son lien avec 007 via cet article détaillé.
- Envie d’accéder directement aux moteurs? Consultez la section Moteurs et performances.
- Vous privilégiez le châssis? Direction le volet Comportement routier.
- Prêt à parler budget? Passez aux coûts d’usage et aux alternatives.
Une DB11 bien configurée maximise l’agrément et la valeur future: c’est l’équation gagnante des belles GT britanniques.
Reste à mettre des chiffres sur l’expérience: dépenses, décote et position face aux rivales. C’est ce que nous chiffrons ci-dessous.
Coûts d’usage et alternatives 2025 : consommation, entretien, assurance et comparatif concurrentiel
Posséder une DB11, c’est aussi raisonner en coût total. Le carburant, l’entretien, l’assurance et la décote composent l’essentiel de la dépense. En 2025, la plupart des achats se font sur le marché de l’occasion récente, ce qui atténue la facture d’immatriculation par rapport au neuf (malus CO2 et au poids sur véhicules neufs ou 0 km). En revanche, l’assurance haut de gamme et les pneumatiques 20 pouces restent à anticiper.
Budget 3 ans / 30 000 km (estimation France, profil standard)
Poste | DB11 V8 | DB11 V12 | Bentley Continental GT V8 | Ferrari Roma |
---|---|---|---|---|
Carburant (€/30 000 km) | 8 400 € (≈ 14 l/100 à 2,0 €/l) | 9 900 € (≈ 16,5 l/100 à 2,0 €/l) | ≈ 8 700 € | ≈ 8 100 € |
Entretien périodique | 1 500 €/an (≈ 4 500 €) | 1 800 €/an (≈ 5 400 €) | ≈ 1 600 €/an | ≈ 1 700 €/an |
Pneus + freins (usure sur 30 000 km) | 2 000–2 800 € | 2 300–3 200 € | ≈ 2 200–3 000 € | ≈ 2 200–3 000 € |
Assurance (tous risques) | 2 500–4 500 €/an (≈ 7 500–13 500 €) | 3 000–5 000 €/an (≈ 9 000–15 000 €) | ≈ 2 800–5 000 €/an | ≈ 3 000–5 500 €/an |
Décote (3 ans) | 25–35 % selon kilométrage/état | 25–35 % (tirage plus rare en V12) | ≈ 20–30 % | ≈ 20–30 % |
Ces ordres de grandeur varient selon région, bonus de conduite et usage (autoroute vs urbain). L’essentiel: le V8 allège légèrement le faisceau carburant/assurance, alors que le V12 renforce la dimension statutaire et peut mieux tenir la cote sur configurations rares.
Alternatives crédibles en 2025
Le paysage des GT est dense. Outre Bentley et Ferrari, la Porsche 911 Turbo carriole une polyvalence hors norme; la Maserati GranTurismo Trofeo injecte une pointe d’Italie charismatique; la McLaren GT ravit les amateurs de matériaux composites et de direction chirurgicale; une Lamborghini Huracán privilégie l’exubérance; et chez Rolls-Royce, une Wraith/Dawn occasion privilégie l’isolement ultime. Quant à Bugatti, ses hypercars évoluent sur un autre plan tarifaire et d’usage.
- Confort/Grand tourisme — DB11, Bentley Continental GT.
- Dynamisme pur — Ferrari Roma, Porsche 911 Turbo.
- Exotisme technique — McLaren GT.
- Image ostentatoire — Lamborghini Huracán.
- Luxo-barge — Rolls-Royce Wraith/Dawn (occasion).
Sur le plan fiscal français, l’immatriculation neuve ou 0 km d’un véhicule très émetteur implique des taxes spécifiques (CO2/poids). La majorité des DB11 traitées en 2025 étant d’occasion déjà immatriculées, l’effort se concentre sur la garantie, l’historique d’entretien et l’assurance. Quel que soit votre choix, privilégiez une traçabilité limpide et un contrôle technique à jour.
Pour mettre en perspective les sections, revisitez à tout moment les moteurs via ce lien interne, ou replongez dans le design et les équipements. Pour la culture maison, lisez l’analyse 007 ici: Aston Martin & James Bond.
- Conseil d’achat — V8 pour usage intensif mixte (coûts et agilité), V12 pour collectionneur/esthète du long ruban.
- Essai impératif — Comparez DB11 V8 à Ferrari Roma et Porsche 911 Turbo sur les mêmes routes pour caler vos préférences d’assise et de réponse moteur.
- Revente — Couleurs sobres et options utiles (caméra HD, sièges ventilés) fluidifient le marché.
En une phrase: la DB11 réussit ce que peu de GT réussissent encore—rouler vite en apaisant le conducteur—et c’est précisément ce qui fait sa valeur durable.